QUI SOMMES NOUS ?


L'histoire et la création de DLR HOPE est liées à celle de mon expérience personnel vécu depuis près de 13 ans avec mon fils diagnostiqué autiste sévère à l'âge de 2 ans.

On a dû se battre pour dépasser les limites, refuser de faire le deuil sur ses progrès, et chercher des réponses à toute ses questions auquel personne n'a pu vraiment nous répondre. Cette recherche à la compréhension de l'autisme nous a ramené dans mon pays d'origine le Congo, la après un séjour de 6 mois mon fils à l'âge de 6 ans a eu un grand déclic, il a pu sortir de sa bulle et nous somme rentré en Belgique pour continuer son suivi. Ce séjour passé au Congo ma fait voir combien les inégalités social du sud sont tellement différentes de celles du nord, j'ai pu visiter le peu de structures existante qui accueille les personnes souffrent des troubles mentaux, et j'ai constaté que leur condition de vie est juste déplorable. Ma façon de répondre au besoin de toutes ces familles désarmées, c'est de plaidoyer pour la défense et l'amélioration des droits des personnes en situation de handicap.

Ce parcourt ma apporté de forte conviction qui sont de sensibiliser un grand nombre de citoyens sur la question de l'autisme, de faire entendre notre voix dans le monde politique, de lutter contre l'exclusion sociale des personnes autistes dans le milieu familiale, scolaire, sportif et de l'emploi. Que ce problème soit entendu aussi bien au nord qu'au sud pour la cause des oubliés. C'est sur le chemin de l'injustice que nous continuons à lutter encore par ces deux forces qui sont appelé amour et espoir. DLR HOPE est une association à but non lucratif créée en 2017, pour plaidoyer contre l'exclusion social des autistes, notre objectif c'est de promouvoir les échanges nord-sud culturels et humains afin d'agir ensemble contre les inégalités. Notre but c'est de développer des projets innovant en Belgique et dans les pays du sud.

Constat 

A ce jour encore l'autisme est un grand problème de société qui connaît la plus rapide expansion dans le monde, cette même société les a mis à part estimant que ces personnes ne corresponde pas à la norme social actuelle et les poussent à l'isolation.

Le sujet reste tabou et sans réel solution, une très grande majorité de ces personnes n'ont pas accès à l’éducation, au sport, au loisir et leur future est un grand trou noir absolu, car trop souvent ils ont une étiquette, personnes bizarre aux capacités limites. Et pourtant ils ont des instincts, des besoins, des émotions comme nous tous, certains d' entre eux sont rempli de talent et d’intelligence mais par le manque d'argent, de place et de structures adaptées, ils régressent et perdent leur acquis. 

Au Congo dû à l'ignorance les autistes sont appelé enfants animal, enfants de la malédiction, ils sont cachés ou rejetés car il y a un déni de la part des familles et de la société ,qui associent les troubles du développement à la sorcellerie, à la folie, à l'épilepsie, certains d'entre eux se retrouvent même jeté à la rues. Livrés à eux-mêmes ses enfants sont en total rupture avec cette protection familiale, ils sont exposés aux risques de violences physiques, à l'exploitation, au sida... C'est le manque de moyen financiers qui ne permet pas de continuer les actions de sensibilisation dans la capital, dans les provinces et de créer des centres pour accueillir les enfants.

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